
Comment faire le rattrapage de sa comptabilité ?
Vous êtes entrepreneur et vous avez pris du retard dans votre comptabilité ? Sachez que vous n’êtes pas seul. C’est même bien plus courant que vous ne le pensez.
Entreprendre, c’est aussi devoir assumer des démarches nombreuses et variées, sans parler des actions nécessaires à la bonne gestion et au bon fonctionnement de votre activité. Que ce soit pour la création de votre entreprise ou simplement sa vie quotidienne, il y a tout un panel de décisions et formalités auxquelles vous ne pourrez pas échapper (comptabilité, gestion, etc.). Mais pas de panique ! Le blog d’annoncelegale.com vous accompagne dans les méandres de vos obligations.
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Vous êtes entrepreneur et vous avez pris du retard dans votre comptabilité ? Sachez que vous n’êtes pas seul. C’est même bien plus courant que vous ne le pensez.

Depuis le 1er juillet 2025, la procédure de saisie sur salaire ne passe plus devant le juge. Cette réforme change en effet radicalement la façon dont les entreprises doivent gérer les saisies en cours de paie.

Un audit financier est loin d’être une simple formalité. Beaucoup d’entreprises ne peuvent pas y couper, d’autant plus que c’est un excellent stress-test pour la gestion financière.

Les règles changent, et avec elles, vos obligations en tant qu’employeur. Jusqu’à récemment, un salarié malade pendant ses congés payés perdait ses jours de repos sans possibilité de report.

Dès l’instant où vous embauchez votre premier salarié, la question de la mutuelle obligatoire en entreprise devient incontournable. Et pour cause, puisque ce n’est ni une option ni un avantage !

Parmi les décisions les plus importantes que vous prenez au moment de la création de votre entreprise, le choix de la date de clôture de l’exercice comptable est sans doute l’un des plus stratégiques.

Vous en avez sans doute déjà entendu parler, sans forcément savoir en quoi cela consistait, l’intéressement est un avantage salarial proposé au sein de nombreuses entreprises. Mais attention, il ne s’agit pas seulement d’une question de primes ou d’un montant versé en plus du salaire !

En France, l’entrepreneuriat féminin connaît un essor indiscutable, tout en restant confronté à des défis structurels significatifs. Chaque jour, des femmes portent des projets d’entreprises solides et innovants, mais encore trop souvent freinés par des biais persistants.

Je crois qu’il n’y a rien de plus frustrant pour une société que de devoir reverser la TVA à l’État sur une facture qu’un client n’a jamais réglé. Dans ce cas de figure, c’est l’entreprise qui supporte la somme qu’elle n’a même pas encore perçue.

Quand on parle de création d’entreprise, la problématique de l’argent n’est jamais bien loin. Et pourtant, au moment de lancer un projet, beaucoup d’entrepreneurs sous-estiment une ligne de leur stratégie : le choix d’un incubateur et l’adhésion à un programme d’incubation.

On aime penser qu’une entreprise tient debout tant que le travail est bien fait, que les clients sont là et que le chiffre d’affaires tombe régulièrement. Mais la réalité est plus sournoise.

Quand on dirige une entreprise, on se retrouve très rapidement noyé sous des obligations fiscales, sociales et comptables en tout genre.

En tant qu’entrepreneur, je sais à quel point la gestion comptable peut vite devenir un casse-tête. Entre les factures, les justificatifs, la saisie des données, les déclarations fiscales, et le suivi de la trésorerie, le temps perdu s’accumule et les erreurs coûtent cher.

Quand on lance sa première entreprise, on pense souvent qu’avoir une bonne idée suffit. C’est une erreur. C’est l’analyse de marché, ou étude de marché, qui doit être la première étape.

La loi ESSOC est l’une de ces réformes que l’on a tendance à classer trop vite dans la catégorie des « mesures techniques ». Pourtant, si vous dirigez une entreprise, vous êtes concerné, et pas qu’un peu.

Calculer sa marge n’a rien d’un exercice théorique. C’est une arme capitale quand on gère une entreprise, je dirais même une boussole pour vous orienter dans le blizzard.

BIC ou BNC ? Découvrez les différences fiscales et comptables entre ces deux régimes selon votre activité d’entrepreneur.

Découvrez à quoi sert la liasse fiscale et ce qu’elle contient, ainsi que nos conseils pour toutes les entreprises soumises à un régime réel.

Quand vous créez une société, tout commence avec les apports. C’est la base de tout. Sans apport, pas de capital social, et sans capital, pas de société. Que vous soyez en SAS, SARL, EURL, SASU ou même en SNC, vous devez donc connaître les différents types d’apports comme votre poche.

Créer une activité e-commerce, c’est faire bien plus que mettre des produits en ligne sur Shopify ou WooCommerce et attendre que les clients achètent. En tant que commerçant en ligne, même auto-entrepreneur, vous devez respecter une série d’obligations juridiques et réglementaires strictes.

Quand on se lance à son compte, on doit penser aux clients, à la trésorerie, à la TVA, à l’assurance, mais également à la retraite. Ce dernier point est même un sujet central, car en tant qu’indépendant, on ne bénéficie pas du système automatique des salariés. Pas de DRH, pas de bulletin avec lignes toutes faites.

Quand on gère une entreprise, on doit parfois se coltiner des termes financiers venus d’ailleurs (le plus souvent de l’anglais), qui finissent par s’imposer dans les présentations, les audits ou les rendez-vous avec des investisseurs. Et justement, l’EBITDA fait partie de ces incontournables.

Chaque fin d’année, c’est le même refrain, je reçois mon avis d’imposition pour la Cotisation Foncière des Entreprises, aussi appelée CFE. Et même après des années d’entrepreneuriat, cette taxe réussit encore à semer la confusion chez beaucoup d’entrepreneurs, moi le premier.

Vous avez reçu un avis de vérification fiscale dans votre boîte aux lettres ? Inutile de paniquer. Le contrôle fiscal est une étape normale dans la vie d’une entreprise.

Gérer la comptabilité d’une entreprise, c’est un peu comme maintenir un navire à flot. Si vous laissez les données, les dépenses et les transactions partirent à la dérive, vous coulez. Et rapidement.

Créer une SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle), c’est faire le choix d’une souplesse juridique qui attire de plus en plus d’entrepreneurs. Mais parmi les questions qui reviennent sans cesse, celle de la rémunération du président est en tête de liste.

Lorsqu’on parle de lever des fonds pour une entreprise, il ne s’agit pas uniquement d’une question d’argent. En effet, c’est aussi et surtout une opération stratégique qui engage votre projet, votre capital et votre temps.

En tant qu’employeur, gérer les congés payés des salariés fait partie du quotidien de l’entreprise. Pourtant, ce n’est pas qu’une simple formalité. Derrière cette obligation se cache surtout un processus juridique, organisationnel et humain.

Quand on démarre une entreprise, on veut souvent limiter les coûts au maximum. Or, quoi de plus économique que de se domicilier à son propre domicile ? C’est la solution que choisissent de nombreux jeunes entrepreneurs pour lancer leur activité (avec celle de la domiciliation chez un ami ou un proche).

Quand on lance une entreprise, et encore plus une société, on découvre rapidement que l’extrait Kbis est LE document incontournable. Il faut dire que c’est un peu la carte d’identité de votre société.

Quand on lance une entreprise à plusieurs, on est souvent portés par un enthousiasme collectif. On se dit que chacun va s’impliquer à fond, que les rôles sont clairs, et que les projets vont avancer sur la bonne voie.

C’est un sujet qui a fait couler beaucoup d’encre ces derniers mois, la réforme de la franchise en base de TVA devait bouleverser l’équilibre des petites entreprises, et plus particulièrement des auto-entrepreneurs.

Créer son entreprise, c’est un peu comme construire une maison. Vous pouvez suivre un modèle préconçu ou concevoir vos propres plans. Et dans le monde juridique des entreprises, le premier cas est exactement ce que proposent les statuts types.

Et si on parlait d’un mal sournois, insidieux et rarement reconnu comme une maladie professionnelle. Je ne vous parle pas de celui qui vous cloue au lit après des mois de surcharge physique ou émotionnelle, ou encore du syndrome d’épuisement classique que l’on attribue le plus souvent aux salariés ou aux cadres en arrêt pour surmenage.

Créer une SCI familiale est une option de plus en plus populaire quand on parle de gestion de patrimoine, de propriété immobilière ou de transmission entre parents et enfants. Mais est-ce vraiment adapté à toutes les situations ?

Bon, on ne va pas se mentir, facturer un client en 2025, ce n’est pas seulement envoyer un bout de papier (ou un PDF) qui récapitule le montant à payer. Évidemment, la facture est un vrai document juridique qui se doit de comporter de nombreuses mentions obligatoires.

À la mention de la SCI (société civile immobilière), vous pensez sans doute à sa simplicité de gestion pour votre patrimoine immobilier et à la transparence fiscale qu’elle permet grâce au régime de l’impôt sur le revenu (IR).

Quand on gère une entreprise, il arrive un moment où on doit se poser cette grande question : comment faire un bilan comptable ? En tout cas, c’est une problématique à laquelle vous vous exposez si vous optez pour un statut juridique de société.

On parle beaucoup de la création d’entreprise, mais très peu de ce qui se passe après. Or, le vrai travail commence quand l’activité tourne. Et là, certains choix juridiques et fiscaux que vous avez faits au départ peuvent rapidement devenir des freins.

Depuis janvier 2025, la directive européenne CSRD oblige les grandes entreprises en France à publier un reporting extra‑financier détaillé. Et d’ici 2028, certaines PME cotées seront à leur tour concernées. Il y a donc fort à parier que l’exercice se démocratise au fil des ans.

Quand on lance son entreprise, on veut d’abord vendre, facturer et encaisser. Pourtant, la première opération consiste à ouvrir un compte bancaire dédié à votre activité. Et contrairement à ce que vous pensez, ce compte n’est pas qu’une formalité. En effet, c’est lui qui dessine la frontière entre vos finances personnelles et celles de votre société.

Si vous êtes entrepreneur, vous savez déjà que la comptabilité ne sert pas qu’à déclarer vos impôts. Elle raconte aussi et surtout l’histoire de ton entreprise. Oui, mais voilà, aujourd’hui, cette histoire doit aussi parler d’écologie, de responsabilité sociale et de transition durable, des enjeux clés pour toutes les sociétés de demain.

Si la paie est au cœur du bon fonctionnement d’une entreprise, pour beaucoup d’entrepreneurs, sa gestion peut vite tourner au casse-tête. Entre les bulletins à éditer, les cotisations sociales, les déclarations, les congés, les variables de salaire et les mises à jour légales, la charge est parfois lourde, surtout au sein des PME.

Si vous démarrez tout juste votre activité, vous savez sans doute que la clôture comptable sera une étape incontournable pour votre entreprise. C’est en effet elle qui vous permet d’arrêter les comptes d’un exercice annuel, de dresser un bilan précis de votre activité financière, et d’évaluer vos résultats.

Quand on développe son entreprise et qu’on commence à embaucher, une question revient vite : comment motiver et fidéliser ses salariés sans exploser la masse salariale ? Le plan d’épargne entreprise (PEE) m’apparaît entre autres comme une solution pour les dirigeants qui veulent allier performance économique et bien-être salarial.

Comprendre le seuil de rentabilité est un passage obligé pour tout dirigeant qui désire sécuriser la gestion de son entreprise. Pourtant, je rencontre souvent des entrepreneurs qui ignorent le chiffre exact leur permettant de couvrir leurs coûts et d’atteindre un résultat positif, alors même que c’est un indicateur simple (comme bien d’autres KPI de rentabilité) pour éclairer le plan d’affaires, le dossier prévisionnel et les décisions quotidiennes.

En tant qu’entrepreneur, je ne vais pas vous apprendre qu’il est judicieux de suivre la performance financière de votre entreprise. Toutefois, j’ai bien conscience que face à toutes les données disponibles, il n’est pas simple de déterminer quels sont les indicateurs à suivre en priorité pour bien gérer votre activité.

Même si elle est considérée comme la plus simple, la comptabilité en BNC (bénéfices non commerciaux) peut paraître mystérieuse au premier abord. Pourtant, elle repose sur quelques règles simples. Si vous vous interrogez sur la meilleure option entre le micro-BNC et la déclaration contrôlée, ce qui va suivre pourrait bien vous intéresser.

Depuis quelques années, le gouvernement s’est lancé dans un grand plan de dématérialisation de l’administration (avec par exemple le guichet unique de formalités des entreprises). C’est donc dans ce contexte que s’inscrit la réforme de la facturation, avec l’arrivée prochaine de la facture électronique obligatoire pour toutes les entreprises françaises.

En créant votre entreprise, l’une des premières formalités que vous devez accomplir est de lui choisir une adresse administrative : c’est la domiciliation. Cette adresse, aussi appelée siège social, est déterminante pour enregistrer légalement votre activité ou pour recevoir votre courrier.