
Quels sont les signes de défaillance d’une entreprise ?
On aime penser qu’une entreprise tient debout tant que le travail est bien fait, que les clients sont là et que le chiffre d’affaires tombe régulièrement. Mais la réalité est plus sournoise.

On aime penser qu’une entreprise tient debout tant que le travail est bien fait, que les clients sont là et que le chiffre d’affaires tombe régulièrement. Mais la réalité est plus sournoise.

Quand on dirige une entreprise, on se retrouve très rapidement noyé sous des obligations fiscales, sociales et comptables en tout genre.

La loi ESSOC est l’une de ces réformes que l’on a tendance à classer trop vite dans la catégorie des « mesures techniques ». Pourtant, si vous dirigez une entreprise, vous êtes concerné, et pas qu’un peu.

Créer une activité e-commerce, c’est faire bien plus que mettre des produits en ligne sur Shopify ou WooCommerce et attendre que les clients achètent. En tant que commerçant en ligne, même auto-entrepreneur, vous devez respecter une série d’obligations juridiques et réglementaires strictes.

Gérer la comptabilité d’une entreprise, c’est un peu comme maintenir un navire à flot. Si vous laissez les données, les dépenses et les transactions partirent à la dérive, vous coulez. Et rapidement.

Quand on lance une entreprise, et encore plus une société, on découvre rapidement que l’extrait Kbis est LE document incontournable. Il faut dire que c’est un peu la carte d’identité de votre société.

Et si on parlait d’un mal sournois, insidieux et rarement reconnu comme une maladie professionnelle. Je ne vous parle pas de celui qui vous cloue au lit après des mois de surcharge physique ou émotionnelle, ou encore du syndrome d’épuisement classique que l’on attribue le plus souvent aux salariés ou aux cadres en arrêt pour surmenage.

À la mention de la SCI (société civile immobilière), vous pensez sans doute à sa simplicité de gestion pour votre patrimoine immobilier et à la transparence fiscale qu’elle permet grâce au régime de l’impôt sur le revenu (IR).

Quand on lance son entreprise, on veut d’abord vendre, facturer et encaisser. Pourtant, la première opération consiste à ouvrir un compte bancaire dédié à votre activité. Et contrairement à ce que vous pensez, ce compte n’est pas qu’une formalité. En effet, c’est lui qui dessine la frontière entre vos finances personnelles et celles de votre société.

Si vous êtes entrepreneur, vous savez déjà que la comptabilité ne sert pas qu’à déclarer vos impôts. Elle raconte aussi et surtout l’histoire de ton entreprise. Oui, mais voilà, aujourd’hui, cette histoire doit aussi parler d’écologie, de responsabilité sociale et de transition durable, des enjeux clés pour toutes les sociétés de demain.

Si la paie est au cœur du bon fonctionnement d’une entreprise, pour beaucoup d’entrepreneurs, sa gestion peut vite tourner au casse-tête. Entre les bulletins à éditer, les cotisations sociales, les déclarations, les congés, les variables de salaire et les mises à jour légales, la charge est parfois lourde, surtout au sein des PME.

Quand on développe son entreprise et qu’on commence à embaucher, une question revient vite : comment motiver et fidéliser ses salariés sans exploser la masse salariale ? Le plan d’épargne entreprise (PEE) m’apparaît entre autres comme une solution pour les dirigeants qui veulent allier performance économique et bien-être salarial.

Comprendre le seuil de rentabilité est un passage obligé pour tout dirigeant qui désire sécuriser la gestion de son entreprise. Pourtant, je rencontre souvent des entrepreneurs qui ignorent le chiffre exact leur permettant de couvrir leurs coûts et d’atteindre un résultat positif, alors même que c’est un indicateur simple (comme bien d’autres KPI de rentabilité) pour éclairer le plan d’affaires, le dossier prévisionnel et les décisions quotidiennes.

En tant qu’entrepreneur, je ne vais pas vous apprendre qu’il est judicieux de suivre la performance financière de votre entreprise. Toutefois, j’ai bien conscience que face à toutes les données disponibles, il n’est pas simple de déterminer quels sont les indicateurs à suivre en priorité pour bien gérer votre activité.